Hier, simples marionnettes de la politique raciste et coloniale appliquée à la Guadeloupe, les cadres dirigeants de Pôle emploi régional sont aujourd’hui mofwazé an zonbi errant sans but dans les dédales de l’Immeuble LOMBA.
Appliquant à la lettre la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) : réduction des budgets alloués à la lutte contre l’illettrisme, à la remise à niveau, à la formation professionnelle et continue; réduction du nombre, des taux de prise en charge et de la durée des contrats aidés. Poursuivant avec zèle le démantèlement du service public et le démounaj des agents. Dans le même temps, les pouvoirs publics (Etat,
Conseil régional, Conseil général) poursuivent la politique visant à consolider le chômage, la misère et l’exclusion sociale : 62 000 chômeurs, 56 000 bénéficiaires du RSA, 25% d’illettrés au sein de la population guadeloupéenne. Leur projet : la promesse d’un « développement économique » et la « création d’emplois ». Leur unique moyen d’y parvenir: Congrès, forums, colloques, assises, journées portes ouvertes, plans jeunes… égrenés à longueur de journée, à longueur de pages et à longueur d’antenne par des médias complices. Nou ja konèt...
Appliquant à la lettre la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) : réduction des budgets alloués à la lutte contre l’illettrisme, à la remise à niveau, à la formation professionnelle et continue; réduction du nombre, des taux de prise en charge et de la durée des contrats aidés. Poursuivant avec zèle le démantèlement du service public et le démounaj des agents. Dans le même temps, les pouvoirs publics (Etat,
Conseil régional, Conseil général) poursuivent la politique visant à consolider le chômage, la misère et l’exclusion sociale : 62 000 chômeurs, 56 000 bénéficiaires du RSA, 25% d’illettrés au sein de la population guadeloupéenne. Leur projet : la promesse d’un « développement économique » et la « création d’emplois ». Leur unique moyen d’y parvenir: Congrès, forums, colloques, assises, journées portes ouvertes, plans jeunes… égrenés à longueur de journée, à longueur de pages et à longueur d’antenne par des médias complices. Nou ja konèt...
Dans le même temps, loin de ces maskarad é blag a mas, les agents de Pôle emploi tentent seuls de continuer à donner du sens à leur mission : inscrire, indemniser, favoriser la réinsertion de milliers des leurs, monter une prestation, prescrire une formation, animer des ateliers ou accompagner la recherche d’emploi. Seuls, car depuis 2010 la Politique pour l’emploi et la formation des Guadeloupéens - hier défaillante - est inexistante.
Ainsi, les 8 premiers mois de l’année s’achèvent sans qu’aucune formation collective (AFCC) ne soit lancée. Les aides individuelles à la formation (AIF) se comptent sur les doigts de la main : 15 (chiffre avancé par AMORIN en C.E. sous le regard défait de SWIETON) car le DIRSAO & la DIRMOA ont attendu 6 mois pour PRODUIRE un document d’aide à la prescription, signe de leurs difficultés à comprendre ce qu’ils demandent aux agents d’appliquer. Les agences jonglent avec des budgets de chèque qualification sans cesse réduits, en attendant sa disparition programmée… une fois le « climat social » apaisé par la répression d’état et l’omerta des médias. Une liste d’attente indicible et honteuse - donc non rendue publique - pour le CRFP...
Même constat sur la politique partenariale.
Politique de la chaise vide, systématique : Pas un cadre dirigeant aux réunions du SPER sur l’illettrisme, la formation ou l’’insertion. Et censure de l’information vers le réseau (compte -rendu de réunions pourtant adressés aux DIRSAO & au DR).
Même constat pour l’immobilier : CAP sur des projets douteux ou sur des bâtiments inadaptés aux conditions de travail, inadaptés pour la réception des chômeurs, n’offrant aucune ventilation naturelle (béton brut et fenêtres de verre), non modulables alors que l’aménagement des espaces intérieurs ne cesse d’évoluer.
Mieux, un groupe pour le changement immobilier - DAF, DR-A, Responsable immobilier - se réunit dans la plus totale opacité… En l’absence de la RRS (pou i pa enmewdé moun épi pwoblem a risques, santé, sécurité, conditions de travail), en l’absence du service informatique, en l’absence de toute information du C.E. et du CHSCT… Interpellée par L’UGTG la responsable du groupe affirme que ces réunions ont pour
objectif « le suivi des chantiers en cours ». Manti ay ! Il s’agit, là aussi de mettre en oeuvre le volet immobilier de la RGPP à Pôle emploi Guadeloupe : « réduire à terme la surface occupée de 60.000 mètres carrés. » L’UGTG pose donc la question au directeur régional : combien de mètres carrés la Guadeloupe devra t’elle rendre à la DG ? Autrement dit, combien d’agences ne seront pas relogées parmi celles qui attendent depuis des lustres (MAE – ST-FRANCOIS – B-M) ?
Même constat pour l’Opérationnel : foultitude de projets que l’on tente d’imposer sans débat ni consultation (ODIGO, EID, BRSA…); un bordel monstre entretenu à la DIRSAO; avalanche de mails se contredisant les uns les autres; perpétuelle réorganisation du service…
Même constat sur les droits des agents: des responsables d’agence tentant tour à tour d’infantiliser ou domestiquer les agents. Et faute d’y parvenir : de les réduire ou les invalider. La direction a donc déclaré la guerre aux agents et à leurs droits; mais aussi lancé une offensive générale contre le service public de l’emploi et de l’indemnisation.
Nou patini le chwa : Sé swa YO swa NOU.
TOUDI PA KWIT !
Chodyè ka di kannari bonda ay nwè...
Dans un tract diffusé le 2 août dernier, la
camarade secrétaire de la section CGTG s’en
prenait à la secrétaire du C.E.P.E.G en raison
de l’annulation d’une réunion du comité
d’entreprise. Il y était dit que :
« En juillet, par un mail succint de DORSAN nous
avons appris que la réunion était annulée. En août
la réunion devait se tenir aujourd’hui 2 août.
Cette fois ci, ni la direction, ni la secrétaire du CE
ne daignent nous informer ! Tout le monde semble
être en vacances et la vie continue ! »
Pour le coup et en passant, c’est tout d’abord
un mauvais procès fait à DORSAN Eric, dont
l’absence était motivée par des raisons familiales
plus qu’impérieuses. La camarade eut
donc été mieux avisée de se renseigner
avant…
C’est aussi et surtout un très mauvais procès
fait à une militante par une secrétaire perpétuelle
feignant d’ignorer que l’actuelle secrétaire
du C.E. consacre 365 jours au C.E., san
pwan on sèl jouné favè, ni konèt on sèl jou
répi. E kè i ni osi fanmi...
Nous tenons donc à rétablir cette vérité là
auprès des collègues qui doivent aussi savoir
c’est le D.R. qui assure la présidence et la
convocation des élus de cette instance (SRH).
C’est enfin la preuve d’une mémoire
défaillante et d’une certaine inconséquence
:
Puisque la même avait (de bon droit) koulé
plusieurs réunions du C.E. au cours des 18
derniers mois, sans qu’une seule fois l’UGTG
ne se désolidarise ni verbalement ni par écrit.
Mieux : nous avons même dénoncé l’avertissement
dont elle avait fait l’objet et exigé
aussi le retrait des komando ventrus censés
assurer la protection de P. DUMIRIER contre
un groupe de femmes spoliées;
Puisqu’elle-même n’a guère daigné dépi 2010
prendre l’attache de la secrétaire du C.E.:
Si’w pa di mwen bonjou, an pépa di’w awa
En guise de conclusion, nous ne pouvons
donc qu’inviter notre camarade secrétaire de
la CGTG à retrouver un peu de lucidité et à
reprendre le chemin de la lutte unitaire pour
la défense des droits des agents, le respect des
IRP, et la défense du service public.
Hier, simples marionnettes de la politique raciste
et coloniale appliquée à la Guadeloupe, les
cadres dirigeants de Pôle emploi régional sont
aujourd’hui mofwazé an zonbi errant sans but
dans les dédales de l’Immeuble LOMBA.
Appliquant à la lettre la Révision Générale des
Politiques Publiques (RGPP) : réduction des
budgets alloués à la lutte contre l’illettrisme, à
la remise à niveau, à la formation professionnelle
et continue; réduction du nombre, des taux
de prise en charge et de la durée des contrats
aidés. Poursuivant avec zèle le démantèlement
du service public et le démounaj des agents.
Dans le même temps, les pouvoirs publics (Etat,
Conseil régional, Conseil général) poursuivent
la politique visant à consolider le chômage, la
misère et l’exclusion sociale : 62 000 chômeurs,
56 000 bénéficiaires du RSA, 25% d’illettrés au
sein de la population guadeloupéenne. Leur
projet : la promesse d’un « développement
économique » et la « création d’emplois ». Leur
unique moyen d’y parvenir: Congrès, forums,
colloques, assises, journées portes ouvertes,
plans jeunes… égrenés à longueur de journée, à
longueur de pages et à longueur d’antenne par
des médias complices. Nou ja konèt...
Dans le même temps, loin de ces maskarad é
blag a mas, les agents de Pôle emploi tentent
seuls de continuer à donner du sens à leur mission
: inscrire, indemniser, favoriser la réinsertion
de milliers des leurs, monter une prestation,
prescrire une formation, animer des ateliers
ou accompagner la recherche d’emploi.
Seuls, car depuis 2010 la Politique pour
l’emploi et la formation des Guadeloupéens
- hier défaillante - est inexistante.
Ainsi, les 8 premiers mois de l’année s’achèvent
sans qu’aucune formation collective (AFCC) ne
soit lancée. Les aides individuelles à la formation
(AIF) se comptent sur les doigts de la
main : 15 (chiffre avancé par AMORIN en C.E.
sous le regard défait de SWIETON) car le DIRSAO
& la DIRMOA ont attendu 6 mois pour
PRODUIRE un document d’aide à la prescription,
signe de leurs difficultés à comprendre ce
qu’ils demandent aux agents d’appliquer.
Les agences jonglent avec des budgets de chèque
qualification sans cesse réduits, en attendant sa
disparition programmée… une fois le « climat
social » apaisé par la répression d’état et l’omerta
des médias.
Une liste d’attente indicible et honteuse - donc
non rendue publique - pour le CRFP...
Même constat sur la politique partenariale.
Politique de la chaise vide, systématique :
Pas un cadre dirigeant aux réunions du SPER
sur l’illettrisme, la formation ou l’’insertion. Et
censure de l’information vers le réseau (compte
-rendu de réunions pourtant adressés aux DIRSAO
& au DR).
Même constat pour l’immobilier : CAP
sur des projets douteux ou sur des bâtiments
inadaptés aux conditions de travail, inadaptés
pour la réception des chômeurs, n’offrant aucune
ventilation naturelle (béton brut et fenêtres
de verre), non modulables alors que l’aménagement
des espaces intérieurs ne cesse d’évoluer.
Mieux, un groupe pour le changement immobilier
- DAF, DR-A, Responsable immobilier - se
réunit dans la plus totale opacité… En l’absence
de la RRS (pou i pa enmewdé moun épi pwoblem a
risques, santé, sécurité, conditions de travail),
en l’absence du service informatique, en l’absence
de toute information du C.E. et du
CHSCT… Interpellée par L’UGTG la responsable
du groupe affirme que ces réunions ont pour
objectif « le suivi des chantiers en cours ». Manti
ay ! Il s’agit, là aussi de mettre en oeuvre le
volet immobilier de la RGPP à Pôle emploi
Guadeloupe : « réduire à terme la surface occupée de
60.000 mètres carrés. » L’UGTG pose donc la
question au directeur régional : combien de
mètres carrés la Guadeloupe devra t’elle rendre
à la DG ? Autrement dit, combien d’agences ne
seront pas relogées parmi celles qui attendent
depuis des lustres (MAE – ST-FRANCOIS – B-M) ?
Même constat pour l’Opérationnel : foultitude
de projets que l’on tente d’imposer sans
débat ni consultation (ODIGO, EID, BRSA…); un
bordel monstre entretenu à la DIRSAO; avalanche
de mails se contredisant les uns les autres;
perpétuelle réorganisation du service…
Même constat sur les droits des agents:
des responsables d’agence tentant tour à tour
d’infantiliser ou domestiquer les agents. Et faute
d’y parvenir : de les réduire ou les invalider.
La direction a donc déclaré la guerre aux
agents et à leurs droits; mais aussi lancé
une offensive générale contre le service
public de l’emploi et de l’indemnisation.
Nou patini le chwa : Sé swa YO swa NOU.
A PROPOS DE LA SITUATION DU PÔLE EMPLOI:
Nou patini lè chwa : Sé swa YO swa NOU !
NIMEWO 35 : RANTRÉ LENDI 5 SEPTANM 2011
UGTG-POLE EMPLOI
JOUNAL AN NOU
http://ugtg-pole-emploi-guadeloupe.blogspot.com/
http://ugtg.org/
UGTG - POLE EMPLOI
Rue des Filaos
Immeuble Pôle emploi
97 130 CAPESTERRE BELLE EAU
Chodyè ka di kannari bonda ay nwè...
Dans un tract diffusé le 2 août dernier, la
camarade secrétaire de la section CGTG s’en
prenait à la secrétaire du C.E.P.E.G en raison
de l’annulation d’une réunion du comité
d’entreprise. Il y était dit que :
« En juillet, par un mail succint de DORSAN nous
avons appris que la réunion était annulée. En août
la réunion devait se tenir aujourd’hui 2 août.
Cette fois ci, ni la direction, ni la secrétaire du CE
ne daignent nous informer ! Tout le monde semble
être en vacances et la vie continue ! »
Pour le coup et en passant, c’est tout d’abord
un mauvais procès fait à DORSAN Eric, dont
l’absence était motivée par des raisons familiales
plus qu’impérieuses. La camarade eut
donc été mieux avisée de se renseigner
avant…
C’est aussi et surtout un très mauvais procès
fait à une militante par une secrétaire perpétuelle
feignant d’ignorer que l’actuelle secrétaire
du C.E. consacre 365 jours au C.E., san
pwan on sèl jouné favè, ni konèt on sèl jou
répi. E kè i ni osi fanmi...
Nous tenons donc à rétablir cette vérité là
auprès des collègues qui doivent aussi savoir
c’est le D.R. qui assure la présidence et la
convocation des élus de cette instance (SRH).
C’est enfin la preuve d’une mémoire
défaillante et d’une certaine inconséquence
:
Puisque la même avait (de bon droit) koulé
plusieurs réunions du C.E. au cours des 18
derniers mois, sans qu’une seule fois l’UGTG
ne se désolidarise ni verbalement ni par écrit.
Mieux : nous avons même dénoncé l’avertissement
dont elle avait fait l’objet et exigé
aussi le retrait des komando ventrus censés
assurer la protection de P. DUMIRIER contre
un groupe de femmes spoliées;
Puisqu’elle-même n’a guère daigné dépi 2010
prendre l’attache de la secrétaire du C.E.:
Si’w pa di mwen bonjou, an pépa di’w awa
En guise de conclusion, nous ne pouvons
donc qu’inviter notre camarade secrétaire de
la CGTG à retrouver un peu de lucidité et à
reprendre le chemin de la lutte unitaire pour
la défense des droits des agents, le respect des
IRP, et la défense du service public.
Hier, simples marionnettes de la politique raciste
et coloniale appliquée à la Guadeloupe, les
cadres dirigeants de Pôle emploi régional sont
aujourd’hui mofwazé an zonbi errant sans but
dans les dédales de l’Immeuble LOMBA.
Appliquant à la lettre la Révision Générale des
Politiques Publiques (RGPP) : réduction des
budgets alloués à la lutte contre l’illettrisme, à
la remise à niveau, à la formation professionnelle
et continue; réduction du nombre, des taux
de prise en charge et de la durée des contrats
aidés. Poursuivant avec zèle le démantèlement
du service public et le démounaj des agents.
Dans le même temps, les pouvoirs publics (Etat,
Conseil régional, Conseil général) poursuivent
la politique visant à consolider le chômage, la
misère et l’exclusion sociale : 62 000 chômeurs,
56 000 bénéficiaires du RSA, 25% d’illettrés au
sein de la population guadeloupéenne. Leur
projet : la promesse d’un « développement
économique » et la « création d’emplois ». Leur
unique moyen d’y parvenir: Congrès, forums,
colloques, assises, journées portes ouvertes,
plans jeunes… égrenés à longueur de journée, à
longueur de pages et à longueur d’antenne par
des médias complices. Nou ja konèt...
Dans le même temps, loin de ces maskarad é
blag a mas, les agents de Pôle emploi tentent
seuls de continuer à donner du sens à leur mission
: inscrire, indemniser, favoriser la réinsertion
de milliers des leurs, monter une prestation,
prescrire une formation, animer des ateliers
ou accompagner la recherche d’emploi.
Seuls, car depuis 2010 la Politique pour
l’emploi et la formation des Guadeloupéens
- hier défaillante - est inexistante.
Ainsi, les 8 premiers mois de l’année s’achèvent
sans qu’aucune formation collective (AFCC) ne
soit lancée. Les aides individuelles à la formation
(AIF) se comptent sur les doigts de la
main : 15 (chiffre avancé par AMORIN en C.E.
sous le regard défait de SWIETON) car le DIRSAO
& la DIRMOA ont attendu 6 mois pour
PRODUIRE un document d’aide à la prescription,
signe de leurs difficultés à comprendre ce
qu’ils demandent aux agents d’appliquer.
Les agences jonglent avec des budgets de chèque
qualification sans cesse réduits, en attendant sa
disparition programmée… une fois le « climat
social » apaisé par la répression d’état et l’omerta
des médias.
Une liste d’attente indicible et honteuse - donc
non rendue publique - pour le CRFP...
Même constat sur la politique partenariale.
Politique de la chaise vide, systématique :
Pas un cadre dirigeant aux réunions du SPER
sur l’illettrisme, la formation ou l’’insertion. Et
censure de l’information vers le réseau (compte
-rendu de réunions pourtant adressés aux DIRSAO
& au DR).
Même constat pour l’immobilier : CAP
sur des projets douteux ou sur des bâtiments
inadaptés aux conditions de travail, inadaptés
pour la réception des chômeurs, n’offrant aucune
ventilation naturelle (béton brut et fenêtres
de verre), non modulables alors que l’aménagement
des espaces intérieurs ne cesse d’évoluer.
Mieux, un groupe pour le changement immobilier
- DAF, DR-A, Responsable immobilier - se
réunit dans la plus totale opacité… En l’absence
de la RRS (pou i pa enmewdé moun épi pwoblem a
risques, santé, sécurité, conditions de travail),
en l’absence du service informatique, en l’absence
de toute information du C.E. et du
CHSCT… Interpellée par L’UGTG la responsable
du groupe affirme que ces réunions ont pour
objectif « le suivi des chantiers en cours ». Manti
ay ! Il s’agit, là aussi de mettre en oeuvre le
volet immobilier de la RGPP à Pôle emploi
Guadeloupe : « réduire à terme la surface occupée de
60.000 mètres carrés. » L’UGTG pose donc la
question au directeur régional : combien de
mètres carrés la Guadeloupe devra t’elle rendre
à la DG ? Autrement dit, combien d’agences ne
seront pas relogées parmi celles qui attendent
depuis des lustres (MAE – ST-FRANCOIS – B-M) ?
Même constat pour l’Opérationnel : foultitude
de projets que l’on tente d’imposer sans
débat ni consultation (ODIGO, EID, BRSA…); un
bordel monstre entretenu à la DIRSAO; avalanche
de mails se contredisant les uns les autres;
perpétuelle réorganisation du service…
Même constat sur les droits des agents:
des responsables d’agence tentant tour à tour
d’infantiliser ou domestiquer les agents. Et faute
d’y parvenir : de les réduire ou les invalider.
La direction a donc déclaré la guerre aux
agents et à leurs droits; mais aussi lancé
une offensive générale contre le service
public de l’emploi et de l’indemnisation.
Nou patini le chwa : Sé swa YO swa NOU.
A PROPOS DE LA SITUATION DU PÔLE EMPLOI:
Nou patini lè chwa : Sé swa YO swa NOU !
NIMEWO 35 : RANTRÉ LENDI 5 SEPTANM 2011
UGTG-POLE EMPLOI
JOUNAL AN NOU
http://ugtg-pole-emploi-guadeloupe.blogspot.com/
http://ugtg.org/
UGTG - POLE EMPLOI
Rue des Filaos
Immeuble Pôle emploi
97 130 CAPESTERRE BELLE EAU